Journaliste de mode et de luxe, Sophie Abriat nous partage dans son dernier ouvrage « Danser sur le volcan » paru le 15 janvier 2025 une analyse minutieuse de l’impact du luxe dans toutes les strates de la société. Si le domaine luxe est généralement associé à la rareté produit, au savoir-faire et à une valeur perçue élevée, il étend désormais son champ d’action et d’investigation dans de nombreuses autres sphères (art, sport, géopolitique, culturel…) pour devenir omniprésent.
Dans une interview d’Eric Briones parue dans le Journal du Luxe, Sophie parle d’intellectualisation du luxe pour décrire ce phénomène : « se doter d’une substance culturelle rehausse le prestige des maisons mais cela valorise aussi les clients ». Cela fait le liant avec la citation de Téhé Oula, fondateur de GOLDAIA qui dit que « Le monde appartient aux créatifs ». C’est par la mode et ses maisons de luxe que des messages peuvent passer pour avoir un impact subtil et concret à la fois dans la société.
Ce n’est pas pour rien que Bernard Arnault définit Louis Vuitton non pas comme une maison de luxe mais une maison culturelle. « Aujourd’hui pour la génération Z, si tu n’es pas de l’art, tu n’es pas du luxe. » nous dit Eric Briones dans le Podcast du Luxe de Lou DANA.
Et c’est là où les livres de Téhé intitulés L’art de croire en son étoile (T1 & T2) ont leur importance.
Ces livres sont plus que de simples livres. Ils sont la manifestation et l’essence même de la vision d’un projet de vie nommé Goldaia. Bien plus que des bijoux, c’est tout un univers qui a été construit par Téhé (que je nomme comme Créateur d’Univers et non uniquement Directeur Artistique) depuis ses premiers croquis de mode réalisés en 2004.
Goldaia est une marque qui se vit, qui s’exprime, qui se manifeste à travers le témoignage de son créateur. L’art de croire en son étoile c’est comme danser sur le volcan. C’est faire preuve d’audace pour avoir un impact sur le monde. L’histoire de la marque répond à des enjeux politiques, géopolitiques, sociétaux et d’autres aspects comme le phénomène de transclasse.
Pour le comprendre, il faut décortiquer les livres L’art de croire pour savoir se qui se cache derrière plus profondément. Au-delà du bijou, il y a une réflexion profonde sur le sens de la vie, l’impact de la marque sur la société au travers d’une histoire authentique le tout symbolisé par l’étoile de Goldaia. L’importance de la représentation prend de plus en plus d’importance et Goldaia incarne l’espoir et le luxe (cf : la notion de Smart Luxury développée par Stéphane Galienni) en une seule marque.
Tout cela rejoint les propos de Sophie Abriat pour qui l’industrie du luxe et de la mode est une fabrique à rêves, capable de créer des narrations et des émotions. La luxification du monde est le reflet de son intellectualisation.
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