Au cours de mes différentes veilles, un article écrit par la journaliste Marie Dilou paru dans Marie Claire a retenu mon attention. Intitulé « Mariama Barry, cupidon du rap et de luxe », le titre m’interpelle car il vient mettre en lumière une figure de l’ombre qui œuvre en coulisses pour devenir le chaînon manquant entre le luxe et la culture hip-hop française.
Que ce soit avec des artistes comme S.Pri Noir, Tiakola ou Ronisia elle est le catalyseur de connexions entre les nouvelles générations d’artistes et les marques de luxe. En témoigne la collaboration entre S.pri Noir et le joaillier Cartier en décembre 2019. « Si ce n’est pas initié par nous, pour nous, personne ne le fait ». Ce qu’il faut retenir de sa phrase à mon sens est qu’il faut faire ce que l’on doit faire plutôt que d’attendre un signe de l’extérieur. Il faut faire bouger les lignes.
Et c’est exactement ce que le créateur d’univers Téhé Oula réalise avec la construction de sa maison de joaillerie GOLDAIA issue la culture hip-hop. Depuis plus de 15 ans, il a développé tout un écosystème autour de la marque qui réunit joaillerie, mode, culture hip-hop et entrepreneuriat sous le même toit.
Pour cela il n’a pas attendu que les portes s’ouvrent à lui. Il a ouvert lui-même les portes en étant constamment en action depuis ses débuts en 2008. Que ce soit à travers le textile au départ et maintenant dans la joaillerie, Téhé a toujours garder ses valeurs d’authenticité qu’il retranscrit dans sa vision pour permettre à chacun et chacune de faire briller son étoile. Une vision qualifiée de Smart Luxury par les experts du sujet (cc Stéphane Galliéni, Jean-Jacques Viau).
Sa citation favorite est d’ailleurs « Entre Ciel et Terre tous les rêves sont permis, il n’y a pas de plus grand luxe que de croire en vous-même et en vos projets ». A travers le symbole emblématique de l’étoile de Goldaia, il encourage chaque personne à oser dans la vie pour atteindre ses rêves. En passant du textile à la joaillerie tout en gardant ses valeurs, il a créé un écosystème qui permet à chacun de s’élever, de rêver grand et d’aspirer à une élévation dans la société.
Tout comme Téhé, à la lecture du parcours de Mariama on peut ressentir cette même énergie, cette même volonté. Une volonté non pas d’apporter du changement mais d’être le changement lui-même. Ne rien attendre du monde extérieur mais travailler sur soi, ses compétences et sur la compréhension du monde qui nous entoure pour devenir pleinement un acteur à part entière.
Et comme le dit Jean-Michel Karam dans son dernier podcast avec Alec Henry « bosse sur tes compétences » pour devenir indispensable quelque soit l’environnement dans lequel tu te situes à la manière d’un Steve Jobs.
#Goldaia #PopLife